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DRAGON BALL Z - SÉRIE TV - BOX DVD COLLECTORS N°1
il y a 15 ans 8 mois #44817 par Arion 
J'ai pris ces captures au hasard, en prenant les plans fixes et les plans en mouvement qui me tombaient sous la main au fil de la lecture. Je n'ai pas essayé de prouver quoique ce soit, ce faisant.
On m'a rapporté le fait que, selon certains, les disques étaient loins d'être pleins et qu'il y avait de fait de la place perdue, ce qui expliquerait un encodage "raté". Rien n'est plus loin de la vérité. Pour ceux que ça intéresse, je met en fin de post, un copier/coller d'un extrait d'une correspondance que j'ai eu par e-mail avec un ami authoreur, qui explique - de manière très technique, forcément, mais donc argumentée - comment s'envisage un encodage.
Quand je disais que je trouvais l'image des DVD belle, je l'ai dis en mon âme et conscience, un simple avis personnel qui n'engageait que moi et certainement pas une société à laquelle je n'appartiens pas. ^^;
Pour finir, comme promis plus haut, quelques explications sur l'encodage en authoring DVD :
Réponse de Arion sur le sujet DRAGON BALL Z - SÉRIE TV - BOX DVD COLLECTORS N°1
C'est précisément pour cela que j'avais loué la qualité d'image des épisodes il y a quelques temps.ChongWang écrit: Je dois dire que les screens d'Arion sont vraiment magnifiques ! Mouvement ou pas, c'était pas joué d'avance d'avoir une telle qualité.
J'ai pris ces captures au hasard, en prenant les plans fixes et les plans en mouvement qui me tombaient sous la main au fil de la lecture. Je n'ai pas essayé de prouver quoique ce soit, ce faisant.
A mon sens, il l'est. Mais à chacun de se faire son opinion, en regardant les DVD sur un téléviseur et une platine, pas sur base de screenshots réalisés sur DVD-Rom. J'avais vu la plupart des DVD pour le plaisir et je n'avais même pas relevé ce phénomène vidéo, c'est dire (mais peut-être parce que j'ai envisagé ces DVD sans parti pris, sans que mon oeil cherche illico à trouver un défaut d'image ?). Maintenant, il n'est effectivement pas impossible qu'il y ait de la pixélisation sur des scènes chargées en artefacts à l'écran ou avec des mouvements de caméras rapides. Nous sommes, rappelons-le, sur un DVD contenant 7 épisodes avec deux flux audio, les disques sont archi-plein avec un encodage poussé à son maximum. De plus, ce phénomène de pixélisation peut d'ailleurs être plus ou moins visible en fonction du lecteur DVD (et la qualité de la sortie en décompression), du téléviseur, etc. Et il faut y être attentif, en faisant des pauses, pour vraiment être dérangé par ce phénomène ponctuel. La qualité d'image ne se juge de toute façon jamais sur une image en mouvement. Une capture d'écran est un procédé de toute façon destructeur, et ce genre de petits soucis vidéos passe le plus souvent de manière subliminale en lecture continue. Concernant l'encodage, il est au maximum de ce que permet un DVD double-couche contenant un nombre si élevé d'épisodes.J'espère de tout cœur que le problème de pixellisation à outrance est marginal
On m'a rapporté le fait que, selon certains, les disques étaient loins d'être pleins et qu'il y avait de fait de la place perdue, ce qui expliquerait un encodage "raté". Rien n'est plus loin de la vérité. Pour ceux que ça intéresse, je met en fin de post, un copier/coller d'un extrait d'une correspondance que j'ai eu par e-mail avec un ami authoreur, qui explique - de manière très technique, forcément, mais donc argumentée - comment s'envisage un encodage.
Effectivement !Suffit juste de voir le nombre de fois où les gens font référence au fait que "les responsables d'AB" ont promis l'édition ultime meilleure que toutes les éditions aux mondes...
Primo, aucun responsable d'AB n'est intervenu il me semble
Subjectif, plutôt. Un avis personnel est toujours subjectif, je pense.Secundo, Matoumalin n'a jamais été prétentieux, il nous a simplement tenu au courant de l'avancée des travaux et seul Arion a donné son avis purement objectif...
Quand je disais que je trouvais l'image des DVD belle, je l'ai dis en mon âme et conscience, un simple avis personnel qui n'engageait que moi et certainement pas une société à laquelle je n'appartiens pas. ^^;
Pour finir, comme promis plus haut, quelques explications sur l'encodage en authoring DVD :
Quand on parle de place sur les disques, il faut tenir compte du contenu exploité (film ou épisodes séparés) et DVD de stockage ou DVD-video.
Un DVD 5 (simple couche) a une taille de 4,7G alors qu’un DVD-9 en a une de 8,5G.
Quand on y grave des données tels que Divx, musique, fichiers de tout genre, on peut exploiter la quasi intégralité de la place sur le disque sans restriction.
Quand on fait un DVD authoring, c’est-à-dire un DVD-VIDEO, le DVD 5 ne pose pas de problème car la tête de lecture reste sur la même couche vu qu’il n’y en a qu’une. Mais quand on passe sur du DVD 9 (double couche) qui se trouve être deux disques pressés collés l’un à l’autre, on est limité par d’autres contraintes. Je m’explique : sur un double couche, nous avons 2 couches, la couche une (Layer 0) qui se doit d’être supérieure ou égale à la couche 2 (Layer 1). Cette denière couche est lue dans la plupart des cas en deuxième après la couche une à moins qu’on ne lui mette le logo d’amorce en fin d’authoring mais après sa lecture, on continue sur le début du disque.
Dans le cas d’un programme en continu tel qu’un film de 2 heures par exemple, on ne peut passer à la couche 2 qu’au moment d’un point de chapitre, le gel entre les deux couches sera plus ou moins visible en fonction du lecteur DVD mais aussi en fonction du débit du film (nombre de flux vidéos et audios dans la piste) ainsi que du taux de remplissage des deux couches. Un changement de couche en lecture continu d’un programme se verra d’autant plus si la couche 0 est à 90% et la couche 1 à 50 % alors que si l’on est à 87% couche 0 et 80% couche 1, la tête de lecture lors du passage d’une couche à l’autre n’a que très peu à se déplacer.
Le disque en couche principale est d’abord lu du centre du disque vers l’extérieur et une fois au bout du fichier lu, il passe en couche secondaire en changeant l’intensité du rayon pour revenir vers le centre du disque pour continuer la lecture du même programme.
Dans le cas d’une lecture d’épisode, il faut trouver un équilibre entre le nombre d’épisode et le changement de couche en essayant au mieux de placer le changement au début d’un épisode pour qu’il n’y ait pas de gel d’image plutôt que d’être obligé de couper au milieu d’un épisode sur un point de chapitre.
Cette méthode implique un choix de taille de fichier par épisode pour trouver cet équilibre, par exemple 4 épisodes sur la couche 0 et 3 sur la couche 1, ce qui permet d’éviter une coupe de changement de couche.
La couche 0 sur un DVD 9 ne pouvant être entièrement rempli, cette méthode implique que la couche secondaire soit elle aussi inférieure à la capacité d’utilisation de la couche 0, ce qui laisse encore de la place libre supplémentaire qui aurait pu être utilisée en cas de gravure de DVD-Data qui n’est pas soumis à cette contrainte.
J’ai lu quelque part qu’un fichier de 650 Méga pour 22’ ne pouvait quoiqu'il arrive pas être de bonne qualité en MPEG2, qui est le format unique de compression sur les DVD.
Ceci ne veut rien dire pour un grand nombre de raisons techniques que peuvent appliquer les personnes qui font les DVD avec le matériel qu’ils ont, et surtout les procédures qu’ils appliquent pour faire leur travail.
Quand on compresse l’image d’un épisode à partir des masters de bonne qualité, on peut faire un fichier de 500 Méga de bonne qualité et un fichier de mauvaise qualité à partir de la même source vidéo pour le même épisode et donc de la même durée.
Je m’explique :
L’épisode se trouve généralement sur une cassette (Master) numérique.
Le labo peut l’encoder en MPEG 2 de plein de manières différentes :
=> Avoir un master numérique mais l’encoder en MPEG2 avec une carte d’encodage en composante (RGB) ou composite au lieu de l’encoder sans perte jusqu’à l’encodeur en numérique (SDI). Certains labos travaillent en composante, ce qui réduit la définition et le contraste de l’image.
=> Le labo, pour des raisons de temps et/ou d’argent, peut encoder les images en CBR, ce qui veut dire un seul passage pour l’image en temps réel, la qualité de l’image sera donc moindre mais l’encodage plus rapide.
Il existe aussi le VBR 1 passe, c’est un encodage en un seul passage, de meilleure qualité théorique car il y a un calcul logiciel pour optimiser en seul passage la qualité de l’image.
Il existe aussi le VBR 2 passes, c’est en encodage en 2 passage, un pour l’analyse des images et un deuxième passage pour son encodage en fonction de l’analyse faite au préalable. C’est le meilleur encodage et le plus répandu chez les professionnels.
Cependant, il existe aussi de l’encodage plan par plan mais très rare car réservé au film le plus souvent issu du 35mm et récent, Eclair Vidéo fait cela avec son encodeur BidPack.
Reste encore pour de rares « techniciens » la méthode de faire une acquisition en non compressé sur une carte d’acquisition des épisodes et d’ensuite faire un MPEG2 en lançant un encodage logiciel et là, le rendu peut varier en fonction de l’acquisition, le type de rendu et la puissance de la machine mais en tout cas, il y aura plus de grain que sur un encodeur matériel.
En résumé, sur la taille d’un fichier, si j’encode l’épisode à partir du master en SDI (numérique) avec un débit moindre mais en 2 passes VBR, mon fichier de 500Méga pour l’épisode de 20’ sera de meilleure qualité que le fichier de taille double (1 Giga) encodé en composante et en 1 passe CBR ou1 pass VBR, voire 2 passes CBR.
Donc comparons ce qui est comparable.
Il faut donc connaître :
- la qualité et le support des sources à encoder.
- Le nombre et le type de fichiers sonores liés à la vidéo.
- La durée total des fichiers audios et vidéos sur le disque et le type de disque.
- La présence ou non de bonus (car en général, la priorité sur la qualité est donnée au film, au détriment des bonus).
- Le fait de savoir si il s’agit d’épisode ou d’un programme long qui lui sera obligatoirement coupé sur une DVD-9 avec un gel de changement de couche.
Reste aussi le temps mis à disposition de ceux qui doivent faire le travail, car quand on doit repeindre un vélo en 10 minutes, on a peut-être moins le temps de corriger les éventuels gouttelettes qui pourraient apparaître car on ne peut même pas voir la peinture sêcher.
Vu de l'extérieur, il est facile de critiquer un authoring et/ou un encodage, de jeter la pierre et de constater que rien dans le monde n’est parfait et, comme l’on dit, il faut essayer d’être objectif et sans parti pris.
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il y a 15 ans 8 mois #44819 par Yuto 
Réponse de Yuto sur le sujet DRAGON BALL Z - SÉRIE TV - BOX DVD COLLECTORS N°1
Oh le copier/collerrafa33 écrit: et aussi il ne faut pas se fier aune image pour voir les pixel car imaginon tu prend une image ou il lance un kamehameha ( image rapide ) et que la tu fais un screen au moment ou il bouge c'est bras tu peut voir pas mal de pixel
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il y a 15 ans 8 mois #44820 par rafa33
Réponse de rafa33 sur le sujet DRAGON BALL Z - SÉRIE TV - BOX DVD COLLECTORS N°1
ouai mais sa concerne les deux forum car sa me saoul de voir se genre de commentaire meme si je peut les comprendresYuto écrit:
Oh le copier/collerrafa33 écrit: et aussi il ne faut pas se fier aune image pour voir les pixel car imaginon tu prend une image ou il lance un kamehameha ( image rapide ) et que la tu fais un screen au moment ou il bouge c'est bras tu peut voir pas mal de pixel
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